Un article publié sous le coup de l'émotion après la disparition tragique du rocker francophone internationalement connu en France.
La nouvelle du décès de Johnny Hallyday a jeté la consternation en France, où l'émotion efface largement celle provoquée par la disparition de Jean d'Ormesson qui aura joué de malchance alors que, déjà immortel, il avait tout le temps de mourir à une meilleure date. Cette nouvelle a aussi provoqué la suspicion dans les rédactions qui ont dû croiser les sources les plus diverses avant de pouvoir publier la sinistre annonce. Le gouvernement aux ordres d'Emmanuel Macron, grand lecteur de Jean d'Ormesson et en même temps passionné par Johnny Hallyday pour faire peuple, a immédiatement réagi en demandant une autopsie.
Le résultat vient d'en être rendu secret à nos sources bien désinformées : avant de mourir officiellement cette nuit, Johnny Hallyday était bien vivant. Cette autopsie infirme donc définitivement les rumeurs les plus folles qui avaient circulé ces derniers temps, l'annonce prématurée du décès ayant eu lieu à plusieurs reprises. Même nos confrères du Huffington Post avaient été jusqu'à mettre en ligne, «par erreur», la nécrologie du rocker français internationalement connu en France jusque dans les territoires d'Outre-Mer.
L'autopsie accrédite la date du décès à la nuit du 5 au 6 décembre, ce qui permet à nos compatriotes d'entamer le nécessaire travail de deuil sans qu'un terrible secret d'Etat ne vienne le troubler. «Johnny Hallyday était bien vivant hier avant de mourir aujourd'hui», se félicite Agnès Buzyn, ministre de la santé aux ordres d'Emmanuel Macron qui échappe à la gestion d'un nouveau scandale.
Après cette désinformation rassurante, la tâche reste toutefois ardue pour le gouvernement aux ordres d'Emmanuel Macron qui doit se pencher «de toute urgence et en même temps dans un délai respectueux du deuil national» sur le difficile reclassement des sosies de Johnny Hallyday. Dans l'attente, ceux-ci bénéficieront dès demain d'un suivi psychologique intégralement pris en charge par la Sécurité Sociale.
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